Immigration : les raisons du déclin de la France…


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« Je considère que l’immigration économique dans un contexte de croissance ralentie doit être limitée. » (François Hollande en mars 2012.)

Mais ça, c’était avant quand Hollande, candidat à la Présidence de la République, incarnait un nouvel espoir pour la France…


Aujourd’hui, le temps des promesses et des mensonges est passé comme après chaque élection…

La France est devenue à la fois le pays européen qui accueille proportionnellement la plus grande population extra-européenne et celui qui est décrit comme « le pays malade de l’Europe », à cause du niveau de la dette, des déficits budgétaires, des records de chômage en hausse, etc. Étrange coïncidence.

Ensuite, des économistes libéraux nous expliquent que le marasme économique français est dû à la social-démocratie, à l‘État providence, au gouvernement de Hollande, au fiscalisme qui paralyse les entreprises et plombe leur compétitivité, au poids d’une fonction publique éléphantesque et privilégiée, de dépenses publiques improductives, etc. La liste est longue. Mais il y aussi un facteur essentiel dont personne n’ose parler : l’immigration débridée depuis 40 ans. Passons en revue les causes pour lesquelles elle a contribué à plomber l’économie française. Ces causes ne sont pas seulement économiques et financières, mais, indirectement, sociologiques.

Il faut d’abord préciser qu’avant le catastrophique «regroupement familial» Giscard-Chirac de 1974, c’est le patronat qui avait organisé l’immigration de travailleurs, non pas par manque de main d’œuvre mais pour faire baisser le coût du travail. A l’époque d’ailleurs, le PC s’opposait lucidement à l’immigration. Les deux premiers inconvénients de cette politique d’appel à la main d’œuvre étrangère non qualifiée furent d’une part qu’elle inaugura la montée du chômage des autochtones et, d’autre part, qu’elle fut un frein à l’innovation. Aujourd’hui, l’immigration n’a plus rien à voir avec ce schéma ; il ne s’agit plus d’arrivées de travailleurs, mais de clandestins, de faux demandeurs d’asiles, de réfugiés, de bénéficiaires des regroupements familiaux. Bref, d’une population plus assistée que productive qui ne fait pas augmenter mais décroître la richesse par tête (PIB/habitant) et qui, quand elle travaille (minoritairement) apporte peu de valeur ajoutée.

Voici en quoi l’immigration de peuplement est un boulet économique et pèse sur tous les comptes publics et donc alourdit la fiscalité des particuliers et des entreprises. Analysons successivement et brièvement 1) les coûts directs ; 2) les coûts indirects ; 3) les coûts globaux.

Les coûts directs

1/ Le coût des prestations et aides multiples aux immigrés anciens ou récents, y compris clandestins : allocations familiales, allocations chômage, AME (aide médicale d’État, réservée au clandestins de manière privilégiée et anticonstitutionnelle), coût d’entretien et d’hébergement des (faux) demandeurs d’asile, dépenses médicales et hospitalières. La majorité ne travaille pas. Assistanat généralisé. Ceux qui travaillent ne le font qu’à un bas niveau, pas rentable pour les rentrées fiscales et les cotisations. Les immigrés dans les créneaux de l’encadrement et des hautes qualifications ne sont qu’une infime minorité. Cela n’a rien à voir avec l’exclusion et la discrimination, puisqu’il existe au contraire des lois de discrimination positive en faveur de la «diversité» ! Ce coût des aides et prestations offertes à une population, globalement inefficace et assistée, supporté par l’État, la Sécurité sociale et toutes les collectivités locales, se fait aux frais des classes moyennes et des PME et à leur détriment. Ce qui plombe à la fois le pouvoir d’achat et d’investissement des forces vives.

Globalement, le niveau, devenu insupportable, des prélèvements et des dépenses publiques (57% du PIB, record mondial et plus haut niveau dans toute l’histoire de France) est dû pour une large part à l’immigration. La profitabilité générale de cette dernière est une illusion économique, entretenue par la propagande immigrationniste.

2) La «politique de la ville» euphémisme comique, est extrêmement coûteuse pour les municipalités et les départements, mais totalement inefficace. Les plus endettés sont, comme par hasard, ceux où la population immigrée est la plus forte. C’est pourquoi d’ailleurs, il est mensonger de parler de populations ou de zones «défavorisées», puisqu’elles reçoivent (en pure perte) le plus d’investissements. Elles sont au contraire surprotégées et privilégiées, mais toujours victimisées – souvent pour éviter, en vain, les émeutes. Alors qu’au contraire, les départements et les zones semi-rurales périphériques où vivent ou bien se réfugient les autochtones déclassés, les «invisibles» sont délaissés par les aides et transferts publics.

Le «budget social de la Nation» est plombé par les prestations de toute nature versées à ces populations, primo arrivants ou nés sur le sol français. Aux flux d’entrées incontrôlés s’ajoute la forte natalité des immigrés, qui aggrave l’équation. Le ratio investissement social/ revenu marchand national est largement négatif.

Les coûts indirects

La notion de déséconomies externes concernant l’immigration n’a jamais été prise en compte. Il s’agit de coûts indirects, encore plus lourds que les charges comptables immédiates, mais qui se font sentir à plus long terme.

1) Les énormes coûts de la criminalité et de la délinquance (dont l’origine est connue). L’économie de la «sécurité» demande de très importants investissements, publics et privés, qui sont autant d’argent en moins consacrés à des secteurs productifs et innovants. Les budgets de la justice, de la police et de la gendarmerie, sans parler de l’administration pénitentiaire, sont très alourdis par la délinquance d’origine immigrée. De plus, l’atmosphère d’insécurité et de dégradation du cadre de vie provoque des nuisances indirectes qui bloquent le dynamisme économique dans des domaines tels que le tourisme, la vie nocturne, le petit commerce, etc.

2) La baisse du niveau scolaire dans l’école publique (primaire et secondaire) est davantage due à la présence d’immigrés de multiples origines à l’école – situation ingérable – qu’à la catastrophique politique de « Rééducation Nationale » de Najat Vallaud-Belkacem, marocaine et musulmane.

3) La discrimination positive, illégale, contraire au principe d’égalité, mais largement pratiquée au nom du dogme de la «diversité», oblige les grandes entreprises et les administrations à recruter prioritairement, selon des quotas, des personnels issus d‘une certaine origine. Cette pratique nuit à la compétence comme à la rentabilité et augmente le chômage des autochtones. Les effets, presque indolores, ne se feront sentir que progressivement.

4) Les effets de l’économie souterraine et criminelle ne sont pas négligeables. Les coûts induits, dans tous les secteurs, du trafic de stupéfiants, en hausse constante, en fait très mollement puni et dissuadé, trafic qui est à 100% entre les mains d’acteurs d’origine immigrée, n’ont jamais été sérieusement évalués mais sont très élevés. Le trafic des stupéfiants augmente le volume de l’économie souterraine, dont les acteurs continuent de percevoir les aides publiques sans payer aucune contribution sociale. S’ajoute à cela le travail au noir, dans maints secteurs, qui a les mêmes effets récessifs.

Les coûts globaux

Tous les inconvénients de l’immigration massive sont comme de multiples petits ruisseaux qui finissent par former, dans tous les domaines, un grand fleuve. L’addition des petites dépenses fait les grands déficits. De plus, une atmosphère générale d’insécurité, de dégradation du cadre de vie, de désarroi culturel et identitaire, de communautarisme et de dépossession territoriale, nuit à l’optimisme et à la confiance, indispensables à l’investissement et à l’innovation. La psychologie est la base des comportements économiques. Le pessimisme collectif a toujours été synonyme de récession.

L’immigration fonctionne donc comme un fardeau global qui plombe le dynamisme économique et augmente le chômage. À égalité avec la politique économique collectiviste et étatiste, qui en est d’ailleurs une des conséquences partielles. Cercle vicieux : tous ces phénomènes provoquent une hausse des dépenses publiques qui pèsent sur les entreprises, augmentent encore le chômage et donc les dépenses publiques. Briser le cercle vicieux ne pourrait procéder que d’un programme révolutionnaire.

nouveauDe plus, on assiste à une nouvelle lutte de classes, qui ne dit pas son nom, entre d’une part les assistés parasitaires, les salariés privilégiés des secteurs protégés, les élites du système et, d’autre part, les classes moyennes autochtones exploitées sur lesquelles reposent le financement des autres. Jusqu’à quand ?

Le pourcentage de créateurs d’entreprises innovantes créatrices d’emplois, en pointe technologiquement, est faible chez les immigrés d’origine extra-européenne. Si l’on faisait, grâce à un calcul arithmétique basique, le rapport hors coûts entre le nombre de jeunes immigrés créateurs de richesses et le nombre d’autochtones créateurs de richesses, le ratio serait sidérant : le «jeune issu de l’immigration» crée peu, ne rapporte presque rien et coûte beaucoup. Inutile de s’étendre sur les raisons de cette évidence : elles ne sont liées à aucune discrimination mais à une cause endogène. L’économie, comme le reste, repose sur les hommes plus que sur les chiffres, sur les qualités des populations, de leur comportement et de leur travail, bien plus que sur des mécanismes comptables et abstraits.

L’argument, défendu par toute l’idéologie dominante, selon lequel l’immigration en provenance du tiers monde serait indispensable pour compenser notre déficit démographique et notre vieillissement, outre qu’il néglige les facteurs ethniques et historiques, ne tient pas la route sur le plan strictement économique, bien qu’il soit fondé sur le réductionnisme économique. Les bénéfices objectifs de l’immigration en termes économiques sont marginaux. Ce sont des cas particuliers, que les médias mettent en valeur en les généralisant. Globalement, en terme de coûts comparatifs, les inconvénients surpassent de loin les avantages.

Tous les pays développés qui créent des richesses sont victimes d’une immigration de populations du Sud, incapables de se développer par elles-mêmes selon le modèle occidental, qui les fascine et qui, malheureusement, s’est étendu au monde entier. Même Israël, pourtant État ethniciste et protégé, est victime d’une immigration africaine mal maîtrisée. Le Japon et les pays émergents, comme la Chine, l’Inde, etc. refusent l’immigration de masse. L’Europe et l’Amérique du Nord absorbent les surplus des autres, qui se débarrassent de leurs improductifs sur notre dos, tout en favorisant notre colonisation de peuplement. Ce qui nous affaiblit et nous handicape, et ce que nos élites refusent de comprendre.

Une France qui aurait été pratiquement préservée de l’immigration extra-européenne depuis 40 ans, même avec une faiblesse démographique et une population nettement inférieure à celle d’aujourd’hui, aurait un dynamisme économique, un niveau de vie et de création de richesses, un ratio d’emploi, une qualité d’existence très enviables par rapport à ce que nous vivons. Si rien ne change, la situation va devenir ingérable. Que faire de ces millions de jeunes individus inassimilables  qui poseront des problèmes toujours plus insolubles ?

Quand l’Etat sait et ne fait rien…

Le poids de l’immigration dans la fraude sociale

La propagande

Et pour empêcher les Français conscients de cette triste réalité de s’exprimer ou de réagir, les associations de gauche et les médias à la solde du politiquement correct accentuent leurs efforts pour soutenir la propagande qui nous explique que les migrants viennent nous aider.

Aussi, faudra t-il bientôt remercier les migrants d’accepter les aides financées par les impôts des Français qui travaillent ?

Et que dire du Grand Remplacement qui accélère le déclin de la France ?

Aujourd’hui, le choix entre l’effondrement ou la révolution est maintenant clairement posé dans un contexte politique où, selon les derniers sondages, Marine Le Pen remporterait l’élection présidentielle si elle avait lieu aujourd’hui…

Sources :

https://infocomnet.wordpress.com/2014/07/12/mensonge-detat-a-70-milliards-la-verite-sur-le-vrai-cout-de-limmigration-en-france/

http://www.gfaye.com

2 réflexions sur “Immigration : les raisons du déclin de la France…

  1. Pingback: Immigration, migrants – Des Livres & Nous

  2. N’oublions pas que la population augmente et que le service publique régresse , à un moment donné,ça va coincé quelque part ….

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